Martinique

#086 – Manon découvre que la vie de bateau, ce n’est pas que plage et apéro !

  • 29 février au 7 mars 2024, Sainte-Anne, Anses d’Arlet, Pointe du bout et Petit Ilet

Jeudi 29 février, 8ème nuit au mouillage de Sainte-Anne, calme et sans pluie.

Au petit matin, Manon se réveille tôt et en pleine forme, la nuit lui aura été bénéfique.

Juste le temps de prendre le petit déj et préparer les sandwichs au pain pizza fait maison, nous embarquons dans l’annexe et filons au ponton pour prendre la voiture, direction, le Nord !

Au programme aujourd’hui, la visite de la rhumerie JM située à Macouba. La route est longue, du coup on en profite pour faire un petit arrêt…

Nous n’y resterons pas longtemps car nous avons encore pas mal de chemin à parcourir jusqu’à notre destination, qui en vaut le détour.

La rhumerie, toujours en activité, est nichée dans un coin de verdure, littéralement perdue dans la végétation.

Le cadre est somptueux et la visite -gratuite- très instructive.

Les effluves de canne à sucre et de distillation parfument l’air.

La découverte des chais, lieu où sont entreposées les barriques avec leur précieux contenu pour leur vieillissement, est impressionnant !

Ça en fait des litres de rhum ! Autant dire qu’il ne fait pas bon de gratter une allumette à proximité…

La visite se terminera par une dégustation ainsi qu’un petit achat… nous n’allions tout de même pas partir les mains vides !

Nous nous rendons sur le parking et, vu qu’il est l’heure de manger et qu’il y a même une table abritée dans la végétation, nous mangeons. Alors que le repas touche à sa fin, une énorme averse déverse sont contenu sur nous. Nous nous abritons tant bien que mal avant de filer se réfugier à la voiture, mais c’est déjà fini !

Nous reprenons la route, pour aller, cette fois, direction la côte Ouest, à l’anse Couleuvre.

La route qui y mène est quelque peu sportive, mettant à mal notre petite Clio bien mal dotée en chevaux… Mais nous y arrivons et nous y parquons.

Nous sommes au beau milieu de la jungle, qui avec le temps, a englouti une ancienne sucrerie !

Nous rejoignons ensuite la plage, très belle, mais pas l’envie de nous y baigner.

Nous visons plutôt la cascade Couleuvre, qui ne devrait pas être trop loin. Nous cherchons le chemin et nous enfonçons dans cette jungle verdoyante.

Le chemin est ludique, ça monte, ça descend, on enjambe des lianes et des rochers, traversons la rivière plusieurs fois et ça recommence, le tout, durant une bonne heure.

Tout le monde apprécie, sauf peut-être Manon, qui semble au bout de sa vie ! Ce qui est plutôt une promenade de santé pour nous, est un calvaire pour elle… Oups ! Nous ne savions pas qu’elle ne marche presque jamais… ah ces jeunes !

Nous pensions peut-être l’emmener durant la semaine faire l’ascension de la Montagne Pelée… du coup, c’est râpé !

Arrivé à la cascade Couleuvre, je vois la délivrance dans son regard.

Ça y est Manon, nous y sommes !

Tu as réussi, bravo !

Ça mérite une bonne douche sous la cascade ! Vite, tout le monde en maillot !

Malheureusement, il n’y a pas de bassin en bonne et due forme pour se baigner, nous nous contenterons de la douche à l’eau douce, rafraîchissante à souhait car l’eau n’est pas très chaude ! Tout le monde est heureux de pouvoir se rafraichir après ce bel effort.

Après cela, nous nous rhabillons, et, au grand désespoir de notre invitée, repartons dans l’autre sens. La marche retour sera moins pénible, car plus ou moins en descente.
Ce fût pour nous, je l’espère également pour notre invitée, une magnifique promenade !

Après un petit goûter devant le coffre de la voiture, nous reprenons la route. Il est temps de retourner au Sud, le soleil se couche déjà et il fait vite nuit noire.

Le trajet longe le bord de mer et nous emmène à Fort-de-France, où des bouchons énormes nous attendent !

Nous pensions pouvoir faire encore quelques courses, mais c’était sans compter sur le trafic !

L’heure tourne et les estomacs crient gentiment famine…bon ben…. Mcdo !

Il y en a un à côté, ça fera l’affaire. On se parque et pénétrons dans ce qui pourrait s’apparenter à…. un frigo ! Il fait un froid de canard dedans, la clim tourne à fond ! 🥶

Après le rhum 😎, le rhume 🤒 !

Heureusement que l’espace enfant n’est pas climatisé, c’est là que nous nous installerons pour manger.

Une fois le repas fini, nous reprenons la route, qui, entre-temps, c’est un peu désengorgée, fort heureusement.

Encore une petite heure de route et nous voilà à Sainte-Anne, prêt à embarquer dans l’annexe pour retourner sur PTIPOA, pour un repos bien mérité après cette longue journée.

La reste de la soirée se déroulera tranquillement.

Il faut d’ailleurs qu’on étudie le programme des prochains jours pour coller au mieux à notre invitée et la préserver ! Les prochains jours seront donc plus calme, avec moins de marche ! 😉


Vendredi 1er mars, 9ème nuit au mouillage de Sainte-Anne. Calme avec quelques averses.

Petit déj et départ pour la voiture. Aujourd’hui, ce sera la Cascade Didier, sur les hauts de Fort-de-France.

Après une bonne heure de route et un chemin bis, ayant loupé la « vraie » sortie, nous y voilà !

On se parque et… on mange, car c’est l’heure !

Au menu du jour, sandwichs au thon avec le pain fait maison.

Nous empruntons ensuite le chemin qui mène à la cascade. Ça commence par un long escalier descendant, suivi d’un petit pont, une courte remontée et la traversée d’un tunnel.

Une fois de l’autre côté, nous suivons le chemin tracé dans la jungle.

Le cadre est vraiment splendide, aux végétaux aux couleurs variés avec en toile de fond la rivière.

En chemin, nous aurons la chance de croiser une Matoutou falaise, autrement dit… une mygale !

Seuls Ayden et moi l’admirerons, les filles préférant rester à bonne distance de cette beauté velue !

Dommage !

Après un court trajet, nous voici à la Cascade Didier, qui, au vue des personnes présentes, a du succès, et ça se comprend.

On se trouve un coin, on enfile les maillots et hop, tout le monde à l’eau. L’eau est bien fraîche mais plus que bienvenue dans cette chaleur ambiante, et, cette fois, il y a un vrai bassin !

Peu après, Ayden, voulant grimper sur un rocher, probablement pour sauter, glissera, se fracassant le menton sur la roche….

Caillou 1 – Ayden 0 !

Bien heureusement, il s’en sortira qu’avec un bleu et une bosse, ça aurait pu être bien pire !

Bon ben… il est temps de rentrer ! On se rhabille et retournons à la voiture. Cette fois nous sommes dans les temps pour une mission course, et, tant qu’à faire, allons à Leclerc !

Le magasin est énorme…tout comme les prix ! Ouille !

On y trouve de tout à condition de mettre la main au porte-monnaie, surtout pour les produits importés de métropole.

Summum de l’aberration, une armoire réfrigérante estampillée « par avion » où trônent… des œufs !!! Oui, des œufs !!!

J’ai dû y regarder à 2 fois et n’ai malheureusement pas eu la présence d’esprit de prendre une photo…

Au fil des rayons, le caddie se remplit petit à petit car il faut bien nourrir notre invitée, dont le régime alimentaire diffère du nôtre. Madame est une carnivore sans trop de fioritures, nous faisons donc le plein de protéines animales pour la semaine.

Il est maintenant temps de s’arrêter, la voiture sera, pleine à craquer.

De retour à l’annexe, ce sera au tour de Marge (l’annexe donc) d’être chargée à bloc, pour un retour sur PTIPOA.

Il ne reste plus qu’à la maîtresse de maison de ranger les achats et, avec mon aide, de préparer le repas.

Pendant ce temps, le reste de la clique se baigne et profite de cet avantage que procure un bateau, qui est d’avoir la plus grande piscine du monde à ses pieds.

Après un bon repas composé de viande, riz et légumes, la soirée se déroulera tranquillement.


Samedi 2 mars, 10ème nuit au mouillage de Sainte-Anne, calme, et comme à l’accoutumé, agrémentée de quelques averses.

Le matin, je pars avec Louna pour rendre la voiture, après avoir fait le plein et un petit coup d’aspi à l’intérieur.

On revient à pied en passant par la plage.

Pendant ce temps, Aurélia fait l’école à Ayden et Manon écrit ses lettres de motivation pour les facs de médecine.

Dès notre retour, je me mets un peu au blog, il faut que ça avance…un peu… mais pas trop, car j’ai rendez-vous chez la coiffeuse !

L’heure du repas arrive à grand pas, nous passons donc à table. L’après-midi sera tranquille au bateau, car j’ai à faire, je change les hélices !

Les enfants eux, se baignent avec Manon et profitent de la vie.

En milieu d’aprèm, une fois les nouvelles hélices montées et opérationnelles, nous faisons une expédition en annexe jusqu’à l’Anse Meunier, plus au sud, pour jouer à la plage, avant de retourner sur PTIPOA avant que la nuit tombe.

Au retour, c’est à nouveau l’heure de manger ! Puis nous jouons un peu et filons au lit.

Cette baignade à l’Anse Meunier aura sonné le glas de mon ongle de pied, qui avait pris un coup lors de notre marche à Santo Antão au Cap Vert et qui depuis se soulevait.

Je devrai l’enlever complètement…et vous épargnerai la vue de cette horreur.


Dimanche 3 mars, 11ème nuit au mouillage de Sainte-Anne. Les nuits se succèdent et se ressemblent, calme avec averses !

Nous bougeons aujourd’hui et, vers 9h30, levons l’ancre à destination de la Petite Anse d’Arlet.

Durant la navigation, alors que nous passons près du rocher du Diamant, un zodiac piloté par une femme vient à proximité et nous parle, mais le bruit du vent et du moteur empêche toute communication.

Nous lui indiquons que nous allons aux Anses d’Arlet et que nous pourrons discuter là-bas.

Arrivé sur place vers 11h30.

Après le repas, les enfants se baignent, alors qu’Aurélia et moi partons en paddle, à la recherche des tortues, car l’endroit est réputé pour en abriter.

Alors que nous sommes à bonne distance de PTIPOA, la dame en bateau moteur arrive pour discuter.

Nous nous accrochons et commençons la discussion.

Elle est sur le point d’acheter un Lagoon (la même marque que PTIPOA) et se questionne sur la grand-voile sur enrouleur.

Ayant remarqué que c’est ce que nous avions, elle est venue recueillir nos impressions.

Au fil de la discussion, elle nous indique l’endroit sympa ici où aller nager avec les enfants, un récif artificiel peuplé de poissons, juste à côté du ponton.

Durant ce temps, il n’y a pas que la discussion qui a dérivée, mais nous aussi !

Nous voilà assez loin de la côte et de PTIPOA. Je demande si c’est possible de nous ramener sur son beau zodiac, qu’elle accepte avec plaisir.

Nous montons à bord et accrochons le paddle à l’arrière. Elle met les gaz et partons à vive allure, formant une grosse vague derrière et ballotant le paddle, dont l’attache finira par s’arracher…

Tiens, un truc de plus à réparer, ça faisait longtemps ! Mais ça ne sera pas pour tout de suite.

Nous mettons l’annexe à l’eau, prenons palmes, masques et tubas et filons au ponton.

L’endroit est effectivement bien sympa, un vrai aquarium ! Dommage que l’eau soit un peu trouble.

Nous n’avions, jusqu’à ce jour, jamais vu autant de poissons différents, un vrai régal.

Nous y restons un moment, mais le soleil décroit déjà, il est temps de rentrer.

Sur le chemin de retour, nous croiserons une tortue, qui disparaitra rapidement dans les profondeurs…

De retour à bord, on mange, on joue et on file au lit !


Lundi 4 mars, 1ère nuit à la Petite Anse d’Arlet. Des trombes d’eau se sont déversées sur nous durant la nuit, rafraichissant un peu l’air au passage.

Au petit matin, le thermomètre affiche 25,9°C et le ciel est nuageux.

Après le petit déj, le ciel se découvre quelque peu, c’est le moment de sauter dans l’annexe pour retourner nager avec les poissons.

Il y a un peu moins de monde qu’hier, c’est appréciable. Nous y croiserons un serpent d’eau, murène et des poissons en veux-tu en voilà ! Chacun apprécie le spectacle.

Nous retournons ensuite au bateau et levons l’ancre vers 11h15, pour aller mouiller juste de l’autre côté, à la Grande Anse d’Arlet, où, apparemment, il y a plus de tortues.

Nous en croiserons une belle en arrivant, et y jetterons l’ancre avant midi.

Nous faisons un petit apéro pendant qu’Aurélia s’occupe du repas.

Au menu aujourd’hui, émincé de poulet à la crème, purée et légumes ; carottes, poireaux et choux !

Après cet excellent repas, la pluie s’invitera en dessert, mettant à mal nos envies de baignade et de snorkeling.

La pluie ne nous quittera plus, laissant tout de même quelques instants de répits entre 2 averses. Cela n’empêche pas les enfants de se baigner, mais resteront à proximité du bateau.

Et entre-temps, ils ne se font pas prié pour geeker !

Vu le temps « breton », quoi de mieux qu’une soirée crêpes ! Suivi de visionnage de nos photos de mariage, où Manon était encore petite, ainsi que de notre regretté Suki, notre chien.


Mardi 5 mars, 1ère nuit à la Grande Anse d’Arlet, très nuageux mais finalement calme et sans pluie.

Le ciel reste pourtant gris.

Une éclaircie durant la matinée nous motivera à prendre l’annexe pour se rapprocher des rochers et tenter de voir les tortues.

Manon en verra 2, mais le temps que le reste de la bande arrive, il n’en restera plus qu’une, l’autre ayant pris la poudre d’escampette. Nous arriverons à suivre et observer la moins farouche restée sur place, enchantant petits et grands !

Après le repas, nous levons l’ancre.

Nous visons cette fois l’Anse Noire, mais l’anse n’est pas très grande et déjà bien peuplée de bateaux…

On tente d’y jeter l’ancre mais ça ne vas pas le faire, on remonte le mouillage et continuons, direction l’Anse à l’Âne, mais l’endroit ne convient pas à mon second… nous continuerons jusqu’à la Pointe-du-Bout, pour enfin, y jeter l’ancre !

L’endroit est sympa, ça le fait !

En plus, nos amis de KARMA sont au port juste à côté, nous les retrouvons à la plage.

Alors que nous discutons, qui voilà ? Ludivine de ZIGZAG, qui devait ramener une voiture et en profitait pour promener son chien Fly.

Après baignade et discussion, nous retournons à bord de PTIPOA, pour une courte durée, car nous sommes invités sur KARMA pour un apéro.

Nous nous y rendons en annexe, le port est juste de l’autre côté de la Pointe-du-Bout, où nous sommes mouillés.

Nous y passons un agréable moment, comme à chaque fois, et retournons ensuite sur PTIPOA pour le repas, pâtes bolognaises, avant de filer au lit !


Mercredi 6 mars, 1ère nuit à la Point-du-Bout, calme et le soleil est à nouveau de retour !

Nous levons l’ancre vers 9h30 pour nous enfoncer dans la baie de Fort-de-France, près de la mangrove.

Nous atteindrons notre destination, Petit Ilet, vers 10h. Durant le trajet, Aurélia en profitera pour commencer à préparer le repas et faire une lessive.

Le mouillage ici est d’un calme ! L’eau est vaseuse, en raison de la mangrove et de l’eau quasi stagnante, mais c’est apaisant.

Nous prenons l’annexe pour aller faire un tour sur le Petit Ilet, un îlot inhabité, du moins humainement, car nous y verrons une multitude de lézards.

Nous reprenons l’annexe et poursuivons un peu plus loin et pénétrons dans la mangrove de la Baie de Genipa.

Arrivé à l’embouchure, qu’on distingue a peine, j’éteins le moteur et le relève, nous continuerons à la rame.

L’endroit est paisible et aucun bruit ne s’en échappe.

Nous naviguons dans ce « bras » de mangrove, enveloppés dans la végétation, observés par les crabes jaunes qui grimpent aux palétuviers et les crabes rouges, plutôt à fleur d’eau. La balade est sympa et pour nous tous, insolite.

Retour ensuite sur PTIPOA, où les enfants se baigneront durant la cuisson du repas.

Après le repas, nous reprenons l’annexe pour aller visiter le « village de la poterie », à quelques milles de là.

Il y a ici plein de boutiques de souvenirs et petits restos.

Nous en profiterons pour manger une glace bien méritée, car la chaleur est assommante.

Ensuite retour au bateau, baignade et repas.

Nous jouons ensuite quelques parties de SKIPBO avant que tout le monde file au lit.

Cette nuit, les 3 dormirons dans le lit de Louna ! Je ne sais pas si Manon va bien dormir, coincée entre les 2 zigotos !


Jeudi 7 mars, 1ère nuit à Petit Ilet, hyper calme, comme sur un lac, du moins à l’extérieur.

La nuit du trio fût un peu plus agitée, Louna ayant pris Manon comme coussin. Mais ils ont l’air content, c’est le principal.

Tôt le matin, les enfants et Manon se baignent dans cette eau immobile, tel un miroir et apprécient ce moment.

Une fois tout le monde à bord, nous levons l’ancre pour retourner à la Pointe-du-Bout.

Vers 10h30, nous allons à la plage en annexe, afin que les uns puissent profiter de la plage pendant que l’autre, en l’occurrence moi, va récupérer la voiture de location, afin de pouvoir ramener Manon à l’aéroport.

Après cela, tout le monde embarque à nouveau dans l’annexe pour retourner au bateau avant midi. Manon doit préparer ses valises pour son départ imminent.

Aurélia, pendant ce temps-là, prépare le repas et les enfants profitent des derniers instants avec Manon.

Sur les coups de 13h30, il est l’heure de partir.

Nous embarquons femmes, enfants et valises, direction l’aéroport.

Bon, bien entendu, ce n’est pas si facile.

On prend l’annexe, on va jusqu’aux rochers où on peut l’attacher, on descend tout le monde, y compris les valises, on jette l’ancre pour pas que l’annexe vienne se râper contre les rochers et on met le cadenas.

On porte ensuite les valises jusqu’à la voiture avant de tout fourrer dans le petit coffre. Seulement ensuite on roule vers l’aéroport !

Nous nous parquons et accompagnons Manon pour déposer ses bagages et ensuite jusqu’à la porte des contrôles, où nous lui diront « au revoir ».

Les enfants sont tristes de la voir partir, ils ont apprécié cette semaine en sa compagnie.

Une fois disparue derrière le portique de contrôle, nous reprenons la voiture et en profitons pour faire des courses.

Nous nous arrêterons cette fois-ci à Pli Bel Price (le nom du Leader Price en Martinique) et faisons de grosses courses, les prix ici sont plus raisonnables qu’à Leclerc.

Ensuite nous nous dépêchons de rentrer car nous avons acheté du congelé et la température extérieure joue contre nous.

Arrivé au bateau – je vous passe le détail des manipulations nécessaires à cela – il faut ranger les courses.

Aurélia préparera ensuite la cabine d’Ayden, afin qu’il puisse y retrouver son lit.

Nous passerons ensuite la soirée tranquille au bateau.

Ceci marque la fin

d’une belle semaine avec Manon,

qui nous l’espérons, aura apprécié…

jusqu’au bout des pieds ! 😘

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